samedi 11 septembre 2010

Douce France


Je dois avouer que cette chanson me touche profondément. Beaucoup plus jazzy que la Marseillaise, nationale sans être nationaliste, cette ode au "cher pays de notre enfance" est intemporelle et justifie l'affirmation de son auteur :

"Longtemps, longtemps après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues."

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