Rodger for ever!

La coupe du 8ème sacre à Wimbledon

Certains lecteurs de ce blog l'ignorent peut-être mais Roger Federer

accomplit cette année une saison tennistique fabuleuse et comme je
suis un federerolâtre invétéré (en même temps qu'un rodgeromaniaque

convaincu), je ne pouvais passer ces évènements sous silence
plus longtemps.

Jugez-en :
Blessé au genou il y a un an notre héros dut se résoudre, la mort dans
l'âme, à stopper sa saison au mois de juillet en promettant bien de nous
revenir plus fort et plus beau...
Il fit si bien qu'au début de l'année il remporta son 18ème titre du
grand chelem avec les Internationaux d'Australie (l'emportant
d'ailleurs en finale sur Rafael Nadal son grand rival).

Le temps d'une pause d'un mois pour soigner ses rhumatismes
naissants (Rodger a quand même 35 ans - ou 36 on ne sait plus très
bien), il revint et gagna deux important tournois aux Etats-unis
(Indian Wells et Miami).

Alors Rodger fit savoir qu'il se reposerait en expliquant qu'il en avait
fait assez comme ça ces derniers temps et qu'on pouvait difficilement
lui en demander plus vu son âge.
En fait, l'helvète - en fin statège - fit l'impasse sur toute la saison de
terre battue pour mieux se concentrer sur la saison sur herbe avec,
bien sûr, en point de mire, un 8ème titre àWimbledon.
Bingo! il remporta le tournoi sans perdre un seul set!
Et 19 tournois du grand chelem au compteur pour monsieur Federer!

Et maintenant, l'US Open se profile à l'horizon (début septembre).
Rodger n'y croit pas trop : " je n'ai quand même plus 25 ans",
soupire-t-il.
Allez Rodger, encore un petit effort - pour tes fans!

Nostalgie

La maison où j'ai grandi

Ayant eu l'occasion fortuitement d'utiliser Google Maps, l'idée 

m'est venu d'aller faire un tour à Poitiers avec l'aide de ce site.
En partant du parc de Blossac tout proche, jai retrouvé la
maison où j'ai passé mon enfance. J'en ai toujours gardé la
nostalgie à tel point que j'ai souvent rêvé que j'y retournais.
Mais le résultat était toujours décevant : je ne possède pas
la clé du paradis perdu.

Donc la maison existe toujours, c'est déjà ça.
Je reconnais le portail du garage et la porte d'entrée. Je me
souviens d'avoir attendu ma mère sur les marches un jour où je
revenais d'une distribution des prix de fin d'année à l'école.
A un moment donné, j'ai levé les yeux et, par delà le toit, j'ai
découvert un ciel bleu, d'une couleur si intense qu'il remplit
mon coeur de joie.
Jamais, je vous le jure, un ciel ne fut plus bleu que ce jour-là...

Le tourbillon de la vie

Une grande dame du cinéma, du théâtre et de la chanson vient de nous
quitter. Souvenons-nous : 1962 dans le film "Jules et Jim", Jeanne
Moreau nous entraînait dans le tourbillon de la vie...