Une oeuvre de Charles Lapicque
jeudi 31 juillet 2008
lundi 28 juillet 2008
Les grandes vacances de Marcel
"En me couchant, à demi conscient, je décidais chaque soir
de me réveiller à l'aurore, afin de ne pas perdre une minute
du miraculeux lendemain. Mais je n'ouvrais les yeux que
vers sept heures, aussi furieux et grommelant que si j'avais
manqué le train.
Alors, j'appelais Paul, qui commençait par grogner lamenta-
blement, en se retournant vers le mur; mais il ne résistait
pas à l'ouverture de la fenêtre, soudain resplendissante, au
claquement des volets de bois plein, tandis que les chants
des cigales et les parfums de la garrigue emplissaient d'un
seul coup la chambre élargie."
Marcel Pagnol - La gloire de mon père
de me réveiller à l'aurore, afin de ne pas perdre une minute
du miraculeux lendemain. Mais je n'ouvrais les yeux que
vers sept heures, aussi furieux et grommelant que si j'avais
manqué le train.
Alors, j'appelais Paul, qui commençait par grogner lamenta-
blement, en se retournant vers le mur; mais il ne résistait
pas à l'ouverture de la fenêtre, soudain resplendissante, au
claquement des volets de bois plein, tandis que les chants
des cigales et les parfums de la garrigue emplissaient d'un
seul coup la chambre élargie."
Marcel Pagnol - La gloire de mon père
dimanche 27 juillet 2008
Le port de plaisance
Charles Lapicque (1898-1988) est un peintre que j'aime bien.
Bourguignon d'origine, il a peint cependant beaucoup de tableaux
relatifs à la mer, aux bateaux, aux régates etc.
Si vous appréciez son style, visitez :
le site consacré à Charles Lapicque
Bourguignon d'origine, il a peint cependant beaucoup de tableaux
relatifs à la mer, aux bateaux, aux régates etc.
Si vous appréciez son style, visitez :
le site consacré à Charles Lapicque
vendredi 25 juillet 2008
Yvette, bon Dieu!
C'est est un film documentaire du réalisateur Sylvestre
Chatenay.
Il relate la vie quotidienne dans une ferme de Touraine
d'Yvette, de ses deux frère Camille et René et de leur mère
Renée (100 ans) qu'ils promènent dans son fauteuil roulant.
Tout un monde rural malheureusement en voie de disparition
que le réalisateur a tenu à fixer sur la pellicule, avant qu'il ne
soit trop tard.
En voici la bande-annonce (une petite merveille) :
D'autres précisions sur le site "Châteauroux, c'est fou!!!"
Chatenay.
Il relate la vie quotidienne dans une ferme de Touraine
d'Yvette, de ses deux frère Camille et René et de leur mère
Renée (100 ans) qu'ils promènent dans son fauteuil roulant.
Tout un monde rural malheureusement en voie de disparition
que le réalisateur a tenu à fixer sur la pellicule, avant qu'il ne
soit trop tard.
En voici la bande-annonce (une petite merveille) :
D'autres précisions sur le site "Châteauroux, c'est fou!!!"
Simon terrasse Federer au tournoi de Toronto
Gilles Simon exulte à l'issue de son match contre Federer.
Gilles Simon est indiscutablement le tennisman français en forme
du moment. Déjà vainqueur du tournoi d'Indianapolis la semaine
dernière, il vient de s'offrir le scalp du numéro 1 mondial Roger
Federer sur le score de 2-6, 7-5, 6-4.
Sans se reposer sur ses lauriers, il a continué sa route dans cette
épreuve en se qualifiant pour les quarts de finale aux dépens
de l'argentin Jose Acasuco...
Où il a été rejoint par...Richard Gasquet qui a également fait
fort en venant à bout du numéro 5 mondial David Ferrer
(6-3, 6-3).
Au tour suivant, il devra affronter "Rafa" en personne mais
tout est possible. Allez Ritchie!
Gilles Simon est indiscutablement le tennisman français en forme
du moment. Déjà vainqueur du tournoi d'Indianapolis la semaine
dernière, il vient de s'offrir le scalp du numéro 1 mondial Roger
Federer sur le score de 2-6, 7-5, 6-4.
Sans se reposer sur ses lauriers, il a continué sa route dans cette
épreuve en se qualifiant pour les quarts de finale aux dépens
de l'argentin Jose Acasuco...
Où il a été rejoint par...Richard Gasquet qui a également fait
fort en venant à bout du numéro 5 mondial David Ferrer
(6-3, 6-3).
Au tour suivant, il devra affronter "Rafa" en personne mais
tout est possible. Allez Ritchie!
mercredi 16 juillet 2008
Le pont
J'étais dur et froid, j'étais un pont, j'étais tendu au-dessus
d'un ravin. Mes orteils d'un côté, mes doigts crispés de
l'autre, je m'étais encastré solidement dans l'argile croulante.
Les pans de mon habit flottaient à mes côtés. Loin au-dessous
grondait le torrent glacé. Aucun touriste ne s'égarait vers ces
hauteurs inaccessibles; le pont n'était encore mentionné sur
aucune carte. Aussi je restais tendu et j'attendais; je ne
pouvais faire autre chose qu'attendre. A moins de tomber,
aucun pont, une fois en place, ne peut cesser d'être un pont.
Ce fut un jour vers la fin de l'après-midi - était-ce le premier
jour, était-ce le millième? je ne saurais dire - mes pensées
demeuraient confuses et tournaient perpétuellement dans un
cercle; c'était vers le soir en été, le grondement du torrent
était devenu plus sourd, quand j'entendis le bruit d'un pas
humain. Vers moi, vers moi. Pont, raidis-toi; prépare-toi,
passerelle, à supporter le passager dont on te confie la charge!
Si son pas est incetain, rassure-le sans intervenir, mais s'il
perd l'équilibre, montre de quoi tu es fait et, comme un dieu
de la montagne, rejette-le de l'autre côté, sur la terre ferme.
Il vint; il éprouva ma solidité avec la pointe de fer de sa canne;
puis avec cette même pointe, il releva et arrangea derrière moi
les pans de mon habit. Il enfonça la pointe de sa canne dans ma
chevelure en broussaille et l'y laissa longtemps, m'oubliant
sans doute, tandis qu'il jetait autour de lui des regards sauvages.
Mais soudain - alors que j'étais justement en train de le suivre
par-dessus montagnes et vallées - il sauta au milieu de mon
corps à pieds joints. Je ressentis une violente douleur, sans comp-
rendre ce qui arrivait. Qu'était-ce donc? Un enfant? Un rêve?
Un voyageur? Un suicide? Un esprit de tentation et de
destruction? Et je me retournai pour me rendre compte.
Un pont, se retourner?
Je n'avais pas achevé mon mouvement que, déjà, je commençai à
tomber, que je tombai, et qu'en un instant je fus déchiré et trans-
percé par les roches aiguës qui m'avaient toujours si paisiblement
regardé d'en bas à travers la ruée des flots.
Franz Kafka - Récits posthumes
d'un ravin. Mes orteils d'un côté, mes doigts crispés de
l'autre, je m'étais encastré solidement dans l'argile croulante.
Les pans de mon habit flottaient à mes côtés. Loin au-dessous
grondait le torrent glacé. Aucun touriste ne s'égarait vers ces
hauteurs inaccessibles; le pont n'était encore mentionné sur
aucune carte. Aussi je restais tendu et j'attendais; je ne
pouvais faire autre chose qu'attendre. A moins de tomber,
aucun pont, une fois en place, ne peut cesser d'être un pont.
Ce fut un jour vers la fin de l'après-midi - était-ce le premier
jour, était-ce le millième? je ne saurais dire - mes pensées
demeuraient confuses et tournaient perpétuellement dans un
cercle; c'était vers le soir en été, le grondement du torrent
était devenu plus sourd, quand j'entendis le bruit d'un pas
humain. Vers moi, vers moi. Pont, raidis-toi; prépare-toi,
passerelle, à supporter le passager dont on te confie la charge!
Si son pas est incetain, rassure-le sans intervenir, mais s'il
perd l'équilibre, montre de quoi tu es fait et, comme un dieu
de la montagne, rejette-le de l'autre côté, sur la terre ferme.
Il vint; il éprouva ma solidité avec la pointe de fer de sa canne;
puis avec cette même pointe, il releva et arrangea derrière moi
les pans de mon habit. Il enfonça la pointe de sa canne dans ma
chevelure en broussaille et l'y laissa longtemps, m'oubliant
sans doute, tandis qu'il jetait autour de lui des regards sauvages.
Mais soudain - alors que j'étais justement en train de le suivre
par-dessus montagnes et vallées - il sauta au milieu de mon
corps à pieds joints. Je ressentis une violente douleur, sans comp-
rendre ce qui arrivait. Qu'était-ce donc? Un enfant? Un rêve?
Un voyageur? Un suicide? Un esprit de tentation et de
destruction? Et je me retournai pour me rendre compte.
Un pont, se retourner?
Je n'avais pas achevé mon mouvement que, déjà, je commençai à
tomber, que je tombai, et qu'en un instant je fus déchiré et trans-
percé par les roches aiguës qui m'avaient toujours si paisiblement
regardé d'en bas à travers la ruée des flots.
Franz Kafka - Récits posthumes
samedi 12 juillet 2008
Jeremiah Johnson
"Jeremiah Johnson dans la montagne s'en est allé
Il cherchait l'aventure et l'oubli de son passé..."
"vidéo Intro du film Jeremiah Johnson"
Il cherchait l'aventure et l'oubli de son passé..."
"vidéo Intro du film Jeremiah Johnson"
mardi 8 juillet 2008
Mais où sont les tours de France d'antan?
La France des années 60 fut profondément divisée entre
anquetilistes et poulidoristes.
Comme chacun sait, Noël...c'est en décembre et le tour
de France...au mois de juillet. Il n'y a pas à revenir
là-dessus!
Depuis bien longtemps, je suis la Grande Boucle avec un
intérêt dont l'intensité va decrescendo au fil des années.
1963. Vous n'étiez peut-être pas né, moi si!
Je me revois encore littéralement scotché au poste de radio
situé dans l'entrée de la maison familiale, le jour d'une
échappée de Federico Bahamontès (l'aigle de Tolède) dans
les Alpes.
Cette année-là, Jacques Anquetil ramena le maillot jaune
à Paris.
Depuis, j'ai suivi fidèlement presque tous les épisodes
du grand feuilleton juillétiste : l'affrontement Anquetil -
Poulidor (qui scinda la France des supporters en deux
camps), le règne de Merckx (le Cannibale), la domination
d'Hinault (le Blaireau), d'Indurain et, plus près de nous,
les sept victoires d'Armstrong...qui soulevèrent la suspi-
tion de beaucoup.
Je dois maintenant vous livrer un terrible aveu : la magie
n'opère plus pour moi comme avant.
Il existe bien sûr une raison à cela : le dopage (vous vous en
doutez). Et les organisateurs du tour ont bien raison de le
combattre avec acharnement.
Il faut reconnaître cependant qu'on s'y perd un peu : un tel
est encensé la veille...pour être viré comme un malpropre
le lendemain et on ne sait toujours pas qui a remporté les deux
dernières éditions -ce qui fait quand même bizarre pour une
compétition de cette envergure!
Par ailleurs aucun coureur français n'est plus en mesure de
gagner le tour.
On sait pourquoi et, à la limite, je préfère qu'il en soit ainsi...
Il m'arrive de rêver que le monde est parfait, qu'il n'existe pas
de coureurs prêts à toutes les tricheries pour conquérir argent
et gloire, pas de médecin véreux qui prennent les sportifs
pour des cobayes, pas de directeurs d'équipe ou de sponsors
malhonnêtes... J'y crois vraiment.
Mais seulement quand je suis profondément endormi!
Je regarderai probablement passer le tour à Châteauroux
le 9 juillet mais uniquement pour le décor.
Et peut-être, bien que je n'ai plus l'innocence de mes dix ans,
appuierai-je sur le bouton de mon téléviseur les jours des
étapes de montagne...
tout en me demandant avec un brin de nostalgie :
Mais où sont les tours de France d'antan?
anquetilistes et poulidoristes.
Comme chacun sait, Noël...c'est en décembre et le tour
de France...au mois de juillet. Il n'y a pas à revenir
là-dessus!
Depuis bien longtemps, je suis la Grande Boucle avec un
intérêt dont l'intensité va decrescendo au fil des années.
1963. Vous n'étiez peut-être pas né, moi si!
Je me revois encore littéralement scotché au poste de radio
situé dans l'entrée de la maison familiale, le jour d'une
échappée de Federico Bahamontès (l'aigle de Tolède) dans
les Alpes.
Cette année-là, Jacques Anquetil ramena le maillot jaune
à Paris.
Depuis, j'ai suivi fidèlement presque tous les épisodes
du grand feuilleton juillétiste : l'affrontement Anquetil -
Poulidor (qui scinda la France des supporters en deux
camps), le règne de Merckx (le Cannibale), la domination
d'Hinault (le Blaireau), d'Indurain et, plus près de nous,
les sept victoires d'Armstrong...qui soulevèrent la suspi-
tion de beaucoup.
Je dois maintenant vous livrer un terrible aveu : la magie
n'opère plus pour moi comme avant.
Il existe bien sûr une raison à cela : le dopage (vous vous en
doutez). Et les organisateurs du tour ont bien raison de le
combattre avec acharnement.
Il faut reconnaître cependant qu'on s'y perd un peu : un tel
est encensé la veille...pour être viré comme un malpropre
le lendemain et on ne sait toujours pas qui a remporté les deux
dernières éditions -ce qui fait quand même bizarre pour une
compétition de cette envergure!
Par ailleurs aucun coureur français n'est plus en mesure de
gagner le tour.
On sait pourquoi et, à la limite, je préfère qu'il en soit ainsi...
Il m'arrive de rêver que le monde est parfait, qu'il n'existe pas
de coureurs prêts à toutes les tricheries pour conquérir argent
et gloire, pas de médecin véreux qui prennent les sportifs
pour des cobayes, pas de directeurs d'équipe ou de sponsors
malhonnêtes... J'y crois vraiment.
Mais seulement quand je suis profondément endormi!
Je regarderai probablement passer le tour à Châteauroux
le 9 juillet mais uniquement pour le décor.
Et peut-être, bien que je n'ai plus l'innocence de mes dix ans,
appuierai-je sur le bouton de mon téléviseur les jours des
étapes de montagne...
tout en me demandant avec un brin de nostalgie :
Mais où sont les tours de France d'antan?
lundi 7 juillet 2008
Rafaël Nadal remporte Wimbledon au terme d'un combat de titans!
Passation de pouvoir entre le n°1 et le n°2 du tennis mondial?
Autant la finale de Roland-Garros entre les deux joueurs qui
dominent depuis maintenant trois années le tennis mondial
avait été décevante, vu l'écrasante domination du joueur
Autant la finale de Roland-Garros entre les deux joueurs qui
dominent depuis maintenant trois années le tennis mondial
avait été décevante, vu l'écrasante domination du joueur
ibérique, autant celle de Wimbledon aura tenu toutes ses
promesses...et même au-delà!
C'est en effet un match d'anthologie que nous ont offert les
deux protagonistes de cette rencontre, à ranger au rayon
de nos souvenirs juste à côté de la légendaire finale
Borg-Mac Enroe de 1980.
Les deux premiers sets (déjà très disputés) furent tous
deux remportés par Nadal sur le score de 6 à 4.
Et on put se dire alors, vu la qualité de jeu impressionnante
démontrée par le majorquin ces dernières semaines que
Federer, écoeuré, ne tarderait pas à craquer...
C'était compter sans la détermination du suisse qui ne
"lâcha rien", malgré la pression, et finit par remporter -
de haute lutte - le troisième set au tie-break.
Dans la quatrième manche, le niveau de jeu - déjà
exceptionnel - atteignit véritablement des sommets et fit
chavirer de bonheur les travées du "All England tennis Club".
Les deux joueurs durent également s'y départager au
tie-break.
Federer, le dos au mur, effaça avec un sang-froid impres-
sionnant deux balles de match, la première d'un service
gagnant, la seconde d'un magistral passing-shot de revers
...et finit par égaliser deux manches partout!
Le public, ravi, eut donc droit à un cinquième set...
Aucun des deux participants ne céda son service, se
rendant coups sur coups, les points superbes de l'un
succèdant aux points superbes de l'autre...malgré
la fatigue...et la nuit qui commençait à tomber!
Raphaël Nadal finit par s'emparer du service du numéro1
mondial et remporta son service...et, du même coup
le match après...deux interruptions dues à la pluie...
et 4h48 de jeu! (6/4, 6/4, 6/7, 6/7, 9/7).
En tant que supporter de "Rodger", je déplore sa défaite
(coup de chapeau au passage à "Rafa" quand même) mais la
juge plus encourageante que la "raclée" essuyée à
Roland-Garros.
La réaction de l'intéressé (extrèmement déçu) en conférence
de presse à qui on demandait "s'il était heureux d'avoir
participé à un match d'un tel niveau" était fort différente :
"Je suis bien évidemment content qu'on ait répondu
aux attentes placées dans ce match. Mais là, je n'y pense
pas vraiment, c'est la pire défaite de ma carrière, et de loin.
Ma défaite à Roland-Garros n'était rien, là c'est un
désastre."
Il s'en remettra! D'autant qu'il reste numéro 1 mondial :
même si "Rafa" comptabilise deux victoires en grand chelem
sur une période d'un an (contre une à "Rodger", l'US Open),
ce dernier conserve la tête du classement au bénéfice d'une
plus grande régularité.
Prochains objectifs pour Federer : les Jeux Olympiques...
et, bien sûr, l'US Open où il devra impérativement
l'emporter s'il désire rester le roi de la planète tennis!
vendredi 4 juillet 2008
Zidane, un paisible retraité?
Dois-je le rappeler? Le récent Euro de football a vu la déconfiture
totale de "nos" bleus... Ah, ce France - Roumanie terne et insipide
qu'on aimerait pouvoir rayer définitivement de nos mémoires!!!
C'est dans ces moments-là qu'on mesure à quel point "Il" nous
manque...
Que devient-il au fait?
Et bien, "Zizou" mène une vie de paisible retraité dans sa bonne
ville de Madrid (Espagne). Tous les jours, comme vous et moi,
il va acheter son pain à la boulangerie.
Malheureusement, de temps en temps, d'anciens démons
le reprennent...
vidéo des Guignols de l'Info :
"Zidane et ses coups de boule"
totale de "nos" bleus... Ah, ce France - Roumanie terne et insipide
qu'on aimerait pouvoir rayer définitivement de nos mémoires!!!
C'est dans ces moments-là qu'on mesure à quel point "Il" nous
manque...
Que devient-il au fait?
Et bien, "Zizou" mène une vie de paisible retraité dans sa bonne
ville de Madrid (Espagne). Tous les jours, comme vous et moi,
il va acheter son pain à la boulangerie.
Malheureusement, de temps en temps, d'anciens démons
le reprennent...
vidéo des Guignols de l'Info :
"Zidane et ses coups de boule"
jeudi 3 juillet 2008
La baignade à Asnières
mardi 1 juillet 2008
On attendait Gasquet, ce fut Clément!
Arnaud Clément a réussi l'exploit de se qualifier pour
les quarts de finale de Wimbledon.
Heureux tennis français quand on y songe :
Richard Gasquet est pratiquement aux abonnés absents depuis
le début de la saison mais à Melbourne, Jo-Wilfried Tsonga nous
a fait admirer toute l'étendue de son talent (finaliste) tandis que
Gaël Monfils nous a présenté son nouveau one-man-show
sur les courts de Roland-Garros (demi-finaliste).
Et voici qu'à Wimbledon, Arnaud Clément - encore plus impres -
sionnant - nous a joué carrément "le mort qui ressuscite"!
En effet, notre champion désormais trentenaire et redescendu à la
145ème place au classement ATP a corrigé en huitième
de finale un jeunôt présomptueux, le croate Cilic, en trois sets
(6-3, 7-5, 6-2).
Il a remporté ainsi quatre victoires dans le seul tournoi
londonien - plus que dans les huit épreuves du circuit qu'il avait
disputées depuis le début de l'année où ses succès se comptaient
au nombre de...trois!
En quart de finale, il aura une belle carte à jouer contre
un autre revenant, l'allemand Rainer Schwettler.
Quant à Richard Gasquet, il buta contre l'espoir écossais Andy
Murray. Défaite : 5-7,3-6, 7-6, 6-2, 6-4.
Dire qu'il servit pour le gain de la rencontre au 3ème set!
En voyant les choses du bon côté, on peut considérer
néanmoins qu'il a retrouvé un niveau de jeu satisfaisant et que
sa performance dans ce tournoi n'est pas catastrophique.
Même s'il perd le bénéfice de sa demi-finale de l'année
dernière et chutera bientôt au classement entre la 15ème et
la 20ème place.
Courage, Ritchie, des jours meilleurs vont venir...
les quarts de finale de Wimbledon.
Heureux tennis français quand on y songe :
Richard Gasquet est pratiquement aux abonnés absents depuis
le début de la saison mais à Melbourne, Jo-Wilfried Tsonga nous
a fait admirer toute l'étendue de son talent (finaliste) tandis que
Gaël Monfils nous a présenté son nouveau one-man-show
sur les courts de Roland-Garros (demi-finaliste).
Et voici qu'à Wimbledon, Arnaud Clément - encore plus impres -
sionnant - nous a joué carrément "le mort qui ressuscite"!
En effet, notre champion désormais trentenaire et redescendu à la
145ème place au classement ATP a corrigé en huitième
de finale un jeunôt présomptueux, le croate Cilic, en trois sets
(6-3, 7-5, 6-2).
Il a remporté ainsi quatre victoires dans le seul tournoi
londonien - plus que dans les huit épreuves du circuit qu'il avait
disputées depuis le début de l'année où ses succès se comptaient
au nombre de...trois!
En quart de finale, il aura une belle carte à jouer contre
un autre revenant, l'allemand Rainer Schwettler.
Quant à Richard Gasquet, il buta contre l'espoir écossais Andy
Murray. Défaite : 5-7,3-6, 7-6, 6-2, 6-4.
Dire qu'il servit pour le gain de la rencontre au 3ème set!
En voyant les choses du bon côté, on peut considérer
néanmoins qu'il a retrouvé un niveau de jeu satisfaisant et que
sa performance dans ce tournoi n'est pas catastrophique.
Même s'il perd le bénéfice de sa demi-finale de l'année
dernière et chutera bientôt au classement entre la 15ème et
la 20ème place.
Courage, Ritchie, des jours meilleurs vont venir...
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