Cette photo me fait irrésistiblement penser à un tableau de Stanislas Lépine.
Si le nom de cet "ami" de "la maison de Billy" vous est inconnu,
cliquez dans la colonne de droite...
vendredi 31 octobre 2008
mardi 28 octobre 2008
Un inconnu nommé Gilles Simon
Gilles félicité par "Rafa" à l'issue de sa victoire sur le numéro 1
mondial au tournoi de Madrid.
Le nouveau numéro 1 français (et numéro 10 mondial),
Gilles Simon, est passé pour le grand public de l'ombre
à la lumière à l'issue de sa victoire sur Rafaël Nadal, en demi-finale
du tournoi de Madrid.
Victoire obtenue en trois sets...et 3h 22 de jeu.
Rajoutons que notre français , avant d'en arriver là, avait
remporté ses trois matchs précédents également en trois sets!
A part d'être "increvable", Gilles Simon possède une autre
qualité : il ne craint personne car, avant de faire chuter le
numéro 1 du circuit, il avait déjà accroché à son tableau de chasse
cette saison les numéros 2 (Federer) et numéros 3 (Djokovic).
C'est donc avec impatience que nous suivrons le parcours du
nouveau chef de file du tennis tricolore au tournoi de
Paris-Bercy, avec, en toile de fond, la qualification pour les
Masters de Shangaï.
Une petite pensée pour "Ritchie" (Richard Gasquet) au passage,
qui, redescendu à la 15ème place du classement ATP, a dû
renoncer au tournoi parisien suite à une blessure persistante
au coude.
Peut-être une opération en perspective...
C'est une année bien noire pour Richard...et difficile pour ses
supporters.
Nous patienterons donc encore un peu pour tresser de nouveaux
lauriers à notre idole.
Plus que jamais, encourageons-le : Allez Richard!!!
mondial au tournoi de Madrid.
Le nouveau numéro 1 français (et numéro 10 mondial),
Gilles Simon, est passé pour le grand public de l'ombre
à la lumière à l'issue de sa victoire sur Rafaël Nadal, en demi-finale
du tournoi de Madrid.
Victoire obtenue en trois sets...et 3h 22 de jeu.
Rajoutons que notre français , avant d'en arriver là, avait
remporté ses trois matchs précédents également en trois sets!
A part d'être "increvable", Gilles Simon possède une autre
qualité : il ne craint personne car, avant de faire chuter le
numéro 1 du circuit, il avait déjà accroché à son tableau de chasse
cette saison les numéros 2 (Federer) et numéros 3 (Djokovic).
C'est donc avec impatience que nous suivrons le parcours du
nouveau chef de file du tennis tricolore au tournoi de
Paris-Bercy, avec, en toile de fond, la qualification pour les
Masters de Shangaï.
Une petite pensée pour "Ritchie" (Richard Gasquet) au passage,
qui, redescendu à la 15ème place du classement ATP, a dû
renoncer au tournoi parisien suite à une blessure persistante
au coude.
Peut-être une opération en perspective...
C'est une année bien noire pour Richard...et difficile pour ses
supporters.
Nous patienterons donc encore un peu pour tresser de nouveaux
lauriers à notre idole.
Plus que jamais, encourageons-le : Allez Richard!!!
samedi 18 octobre 2008
Suite et fin de la promenade
Suite de la promenade au Vivier.
Arbres aux belles couleurs automnales sur la droite.
Un peu plus loin sur le chemin, nous rencontrons une vieille
souche très "pitto".
A se demander, d'ailleurs, si on ne l'a pas traînée là exprès!
Et retour au point de départ, vers la voiture - qu'on ne voit pas
(heureusement).
Non, ce n'est pas "un tas de boue" mais convenez qu'elle
aurait déparé dans cette série de clichés on ne peut plus
bucoliques...
Arbres aux belles couleurs automnales sur la droite.
Un peu plus loin sur le chemin, nous rencontrons une vieille
souche très "pitto".
A se demander, d'ailleurs, si on ne l'a pas traînée là exprès!
Et retour au point de départ, vers la voiture - qu'on ne voit pas
(heureusement).
Non, ce n'est pas "un tas de boue" mais convenez qu'elle
aurait déparé dans cette série de clichés on ne peut plus
bucoliques...
mercredi 15 octobre 2008
dimanche 12 octobre 2008
Vingt ans après (la fin)
...Mais au bout de vingt pas, Porthos s'arrêta tout court,
se frappa le front et revint.
" Je me rappelle, dit-il.
- Quoi? demanda d'Artagnan.
- Quel est ce mendiant que j'ai tué.
- Ah! vraiment! Qui est-ce?
- C'est cette canaille de Bonacieux."
Et Porthos, enchanté d'avoir l'esprit libre, rejoignit
Mousqueton, avec lequel il disparut au coin de la rue.
d'Artagnan demeura un instant immobile et pensif; puis,
en se retournant il aperçut la belle Madeleine, qui, inquiète
des nouvelles grandeurs de d'Artagnan, se tenait debout
sur le seuil de la porte.
" Madeleine, dit le Gascon, donnez-moi l'appartement
du premier; je suis obligé de représenter, maintenant que
je suis capitaine des mousquetaires. Mais gardez-moi toujours
la chambre du cinquième; on ne sait ce qui peut arriver."
Alexandre Dumas - Vingt ans après
se frappa le front et revint.
" Je me rappelle, dit-il.
- Quoi? demanda d'Artagnan.
- Quel est ce mendiant que j'ai tué.
- Ah! vraiment! Qui est-ce?
- C'est cette canaille de Bonacieux."
Et Porthos, enchanté d'avoir l'esprit libre, rejoignit
Mousqueton, avec lequel il disparut au coin de la rue.
d'Artagnan demeura un instant immobile et pensif; puis,
en se retournant il aperçut la belle Madeleine, qui, inquiète
des nouvelles grandeurs de d'Artagnan, se tenait debout
sur le seuil de la porte.
" Madeleine, dit le Gascon, donnez-moi l'appartement
du premier; je suis obligé de représenter, maintenant que
je suis capitaine des mousquetaires. Mais gardez-moi toujours
la chambre du cinquième; on ne sait ce qui peut arriver."
Alexandre Dumas - Vingt ans après
vendredi 10 octobre 2008
mardi 7 octobre 2008
Vingt ans après (presque la fin)
Les quatre amis s'embrassèrent les larmes aux yeux.
Puis ils se séparèrent sans savoir s'ils se reverraient jamais.
D'Artagnan revint rue Tiquetonne avec Porthos, toujours
préoccupé et toujours cherchant quel était cet homme qu'il
avait tué. En arrivant devant l'hôtel de la Chevrette, on trouva
les équipages du baron prêts et Mousqueton en selle.
"Tenez, d'Artagnan, dit Porthos, quittez l'épée et venez avec
moi à Pierrefonds, à Bracieux ou au Vallon; nous vieillirons
ensemble en parlant de nos compagnons.
- Non pas! dit d'Artagnan. Peste! on va ouvrir la campagne,
et je veux en être; j'espère bien y gagner quelque chose!
- Et qu'espérez-vous donc devenir?
- Maréchal de France, pardieu!
- Ah! ah! fit Porthos en regardant d'Artagnan, aux gasconnades
duquel il n'avait jamais pu se faire entièrement.
- Venez avec moi, Porthos, dit d'Artagnan, je vous ferai duc.
- Non, dit Porthos, Mouston ne veut plus faire la guerre.
D'ailleurs on m'a ménagé une entrée solennelle chez moi, qui va
faire crever de dépit tous mes voisins.
- A ceci, je n'ai rien à répondre, dit d'Artagnan qui connaissait
la vanité du nouveau baron. Au revoir donc, mon ami.
- Au revoir, cher capitaine, dit Porthos. Vous savez que lorsque
vous me voudrez venir voir, vous serez toujours le bienvenu
dans ma baronnie.
- Oui, dit d'Artagnan, au retour de campagne, j'irai.
- Les équipages de monsieur le baron attendent", dit
Mousqueton.
Et les deux amis se séparèrent après s'être serré la main.
D'Artagnan resta sur la porte, suivant d'un oeil mélancolique
Porthos qui s'éloignait...
Alexandre Dumas - Vingt ans après
Puis ils se séparèrent sans savoir s'ils se reverraient jamais.
D'Artagnan revint rue Tiquetonne avec Porthos, toujours
préoccupé et toujours cherchant quel était cet homme qu'il
avait tué. En arrivant devant l'hôtel de la Chevrette, on trouva
les équipages du baron prêts et Mousqueton en selle.
"Tenez, d'Artagnan, dit Porthos, quittez l'épée et venez avec
moi à Pierrefonds, à Bracieux ou au Vallon; nous vieillirons
ensemble en parlant de nos compagnons.
- Non pas! dit d'Artagnan. Peste! on va ouvrir la campagne,
et je veux en être; j'espère bien y gagner quelque chose!
- Et qu'espérez-vous donc devenir?
- Maréchal de France, pardieu!
- Ah! ah! fit Porthos en regardant d'Artagnan, aux gasconnades
duquel il n'avait jamais pu se faire entièrement.
- Venez avec moi, Porthos, dit d'Artagnan, je vous ferai duc.
- Non, dit Porthos, Mouston ne veut plus faire la guerre.
D'ailleurs on m'a ménagé une entrée solennelle chez moi, qui va
faire crever de dépit tous mes voisins.
- A ceci, je n'ai rien à répondre, dit d'Artagnan qui connaissait
la vanité du nouveau baron. Au revoir donc, mon ami.
- Au revoir, cher capitaine, dit Porthos. Vous savez que lorsque
vous me voudrez venir voir, vous serez toujours le bienvenu
dans ma baronnie.
- Oui, dit d'Artagnan, au retour de campagne, j'irai.
- Les équipages de monsieur le baron attendent", dit
Mousqueton.
Et les deux amis se séparèrent après s'être serré la main.
D'Artagnan resta sur la porte, suivant d'un oeil mélancolique
Porthos qui s'éloignait...
Alexandre Dumas - Vingt ans après
mercredi 1 octobre 2008
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