Antoine Blondin en pugiliste
Voici un livre que, vraisemblablement, je ne lirai jamais.
La première raison étant que, comme je l'ai expliqué précédem-
ment, je suis un lecteur fort paresseux.
ment, je suis un lecteur fort paresseux.
La deuxième est encore plus rédhibitoire : si j'ouvre rarement
un livre, Antoine Blondin, lui, était un auteur qui avait parfois
beaucoup de mal à écrire les siens...
De notoriété publique, il préférait la chaude convivialité des
bistrots et autres estaminets à l'austère solitude de l'écrivain
- et qui songerait à l'en blâmer?
un livre, Antoine Blondin, lui, était un auteur qui avait parfois
beaucoup de mal à écrire les siens...
De notoriété publique, il préférait la chaude convivialité des
bistrots et autres estaminets à l'austère solitude de l'écrivain
- et qui songerait à l'en blâmer?
S'il n'a jamais écrit la moindre ligne du "PC des maréchaux",
il en a quand même trouvé le titre (c'est déjà ça) et a beaucoup
disserté sur son projet, entre p'tits blancs du matin
et whiskys du soir...
disserté sur son projet, entre p'tits blancs du matin
et whiskys du soir...
En tout cas, il est clair que son oeuvre inachevée bénéficiera
à jamais de son caractère inaccessible : on la parera - faute
de pouvoir mieux la connaître - de toutes les vertus!
Pour de plus amples informations sur le sujet, je vous renvoie
à l'article de Pierre Assouline sur son blog de "la république
des livres" :
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